Golancourt

Toujours en manque de participants (à mon avis faute de communication), la 37e édition du prix pédestre de Golancourt s’est déroulée  sans la moindre goutte d’eau. Seul le vent a été gênant pour les coureurs dans le retour après le 1/2 tour. Deux boucles au programme avec passage d’environ 600 m à chaque tour dans l’herbe puis chemin de graviers le long du terrain de football, un parcours peu propice à la performance.

4 capiens pour tenir tête au 57 coureurs de Lagny et 3 podiums dont une victoire au scratch

Pour sa première apparition sous les couleurs capiennes Samia Ragot n’a laissé aucune chance à ses adversaires. En réalisant 45’32, elle termine avec plus de 4mn d’avance sur la deuxième. Samia était surtout venue découvrir le rythme de la compétition et apprendre à gérer son effort. Elle a certainement du partir un peu vite mais elle a surtout su analyser les situations et a terminé en accélération. « Lorsque je remontais sur quelqu’un et que je sentais que le rythme baissé, je partais devant » a t’elle confié à l’arrivée. Exercice pas facile car elle a couru sans chrono, ni montre… juste à la sensation (je lui avais « piqué » son chrono avant le départ).

Deuxième sortie sous les couleurs de CAP 21 et 2e podium pour Christophe Baudrey qui remporte l’argent de la catégorie V2, en 41’47 . Christophe a été gêné dés le départ par une douleur intercostale. Rapidement isolé, il a bien essayé, en vain, de revenir sur l’athlète de Lagny mais il a du composé avec sa douleur.

Samuel Lapergue s’est classé 16e de la course en 43’57 . Maintenant que ses examens « scolaires » sont terminés, Samuel va pouvoir consacrer plus de temps à l’entrainement pour franchir la barre des 40mn au 10 km. Son prochain test sera le 10 km de St Quentin le 11 novembre et nous posséderons tous les éléments pour planifier sa progression.

Deuxième place pour Maxence Lapergue en Minime avec un temps de 6’54 pour les 1850 mètres annoncés. Maxence s’est bien défendu alors qu’il avait encore le cross du collège (3220 m) de vendredi dans les mollets.

Le long des barrières pour soutenir les troupes, il y avait Olivier Lemaître et Claude Vaillant

 

 

 

« de 2 »
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