New-York

Une famille de capiens au départ de ce mythique marathon !  ► La famille Vaillant

Sur le plan sportif

Le club compte dorénavant 2 marathoniens de plus. Pour leur premier essai sur la distance, Amandine Vaillant et Florian Marechal n’avaient pas choisi le plus facile mais le plus abouti des marathons.

Pour Florian cela s’est compliqué au 30e kilomètre. Pas le mur du 30e mais un genou défaillant avec une douleur « type coup d’aiguille à chaque foulée ». Les novices étaient alors sur des bases de 4h50 – 4h55. Bien que le chrono n’était pas l’objectif, Claude Vaillant avait l’œil rivé sur la montre pour réguler au mieux les ardeurs des jeunes, enthousiasmés par une foule en délire.  Lorsqu’au  km32, j’ai vu Florian au plus mal et Amandine Vaillant un peu en désarroi, j’ai pris les choses en main et coaché Florian pour l’inciter à poursuivre. C’est en alternant course et marche et en variant la durée de chaque changement que nous avons atteint le km 38. Pendant ce temps Amandine s’était transformé en reporter et répondait en direct au post FB. Amandine a été plus raisonnable en constatant que l’on allaient aussi vite en marchant qu’en alternant les deux. Du coup nous avons marché les 4 derniers kilomètres à bonne cadence pour finir dans une pseudo euphorie en 5h34. On aurait pu mettre 2 ou 3 minutes de moins car à partir du km 40, nous cherchions du regard Christelle et Emy. Florian avait prévu de passer la ligne avec sa fille dans les bras. Comme on avait pris du retard, Christelle était déjà parti nous attendre à la Sphère de Colombus (le pt de rencontre fixé), pensant que nous étions passé devant elle sans nous voir (ce qui aurait été possible avec les centaines de spectateurs le long des barrières).
A un moment donné chacun aurait pu faire sa course sans se soucier de l’autre mais cela n’est pas dans les gênes familiales, ni de CAP 21. On part ensemble ► on finit en ensemble. Et au final quel bonheur d’avoir partager ensemble ces précieux instants de vie !

 

Sur le plan tourisme et ambiance

Il y a 11ans, j’avais couru le marathon de NY offert pour mes 50 ans par les enfants et les amis. Que s’est il passé en une décennie. Le marathon n’a pas pris une ride et à encore grossi en participation. Une organisation réglée au millimètres sans aucune fausse note visible. Des milliers de bénévoles, extrêmement souriant et dévoués le long du parcours pour vous encourager. Un site de départ hors norme avec des partenaires eux aussi hors norme. Au delà du marathon, c’est une ville entière qui fibre au rythme de la course..

Côté ambiance : vous avez l’impression de courir à travers un concert en permanence. Le parcours de NY marathon est une gigantesque boite de nuit à ciel ouvert. Un flux sonore continue prodigué par des DJ et leur platines, des groupes, des chanteurs avec mégaphone…. et des applaudissements et crie ininterrompu pendant 42,2 km. Il faut le vivre pour se rendre compte de la chose. Arrivée à Central Park vous n’avez pas envi de passer l’arrivée car cela signifie que la magie, la déconnexion, l’ambiance, la joie… tout va s’arrêter. Erreur, ce n’est plus la même ampleur mais le lendemain cela continue. Avoir la médaille de Finisher et se balader dans NY est incroyable. Vous êtes félicités de partout, admirer… et des petits cadeaux vous sont offerts.

A savoir

Il faut être en grande forme pour cette course car en réalité vous effectué 3 marathons en 5 jours.

  • 1er marathon : Celui des visites avec une moyenne de 15 à 18 km par jour. Vous quittez l’hôtel vers 8h30 – 9h et en revenez vers 23h. Usant pour les gambettes les files d’attente pour visiter les monuments incontournables
  • 2e marathon : Je dirais le plus facile. celui de 42,2 km . Oreilles sensibles ► prévoir les boules quies
  • 3e marathon : Le lendemain, jour de départ : Celui des boutiques pour les cadeaux souvenirs.
  • Avec cela il faut tenir compte des décalages horaires et des 6h en moyenne assis dans l’avion.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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